Pourquoi la « frustration » d’Aurélien Rodon ?

Tout simplement car, « en qualité de coorganisateur, il m’était impossible d’assister à toutes les conférences, même à celles que j’avais cochées ! L’important reste toutefois, évidemment, que nos visiteurs aient pu rencontrer les experts et fabricants, avoir les sensibilisations ou informations nécessaires pour accroître leur connaissance et, plus globalement, faire progresser ensemble la filière. Nous avions pourtant réduit le nombre de conférences par rapport à 2022, en réponse aux remarques de certains fabricants, et avons fait salle pleine pour chacune.  

Une ambition, enfin : celle de réunir au-delà de la filière. C’est pour nous une nécessité que de faire venir plus de maîtres d’ouvrage, plus d’installateurs mais aussi plus d’étudiants voire de lycéens afin de découvrir les métiers de l’éclairage. Ce sera évidemment l’enjeu pour la prochaine édition. Nous avons déjà quelques idées : organiser une demi-journée “portes ouvertes” pour découvrir la profession, ou encore ajouter un quatrième trophée Focales, qui récompenserait le projet d’éclairage vertueux, intégrant le maître d’ouvrage, le concepteur, le maître d’œuvre, l’installateur et le fabricant. »

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