« Contrairement à d’autres pollutions, la lumière artificielle est une pression sur laquelle on peut agir assez facilement. » Telle est la conviction d’Élisabeth Billet, chargée de mission « restauration de la biodiversité » à la direction « Nature et Jardins » de Nantes. Conviction qu’elle a commentée auprès des membres du Club AFE-Métropoles en expliquant la mise en œuvre progressive de la « trame noire », développée au sein de la ville, pour restaurer des corridors écologiquement sombres.
> Info Plus. Nantes Métropole mène, avec le biogéographe Laurent Godet, directeur de recherche à Nantes Université, un programme portant sur l’influence de l’éclairage public sur le chant des oiseaux.